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Séparation, divorce et dépression : un mal encore trop tabou

Vous traversez une séparation ou un divorce, et rien ne va plus ?

Fatigue, tristesse, insomnies, sentiment de vide… Et si c’était plus qu’un simple chagrin ? La dépression est une réponse fréquente – et pourtant souvent incomprise – à cette épreuve de vie.

J’en sais quelque chose, je suis passé par là…

Quand la rupture ébranle tout notre équilibre

Décider de partir, être quitté, ou même hésiter : chaque étape de la séparation est une déflagration intérieure. Elle touche l’estime de soi, la sécurité émotionnelle, l’identité… et peut profondément déstabiliser le cerveau, déclenchant ce qu’on appelle un épisode dépressif.

Certains sombrent dans l’abattement, d’autres gardent un masque de contrôle tout en se sentant vides à l’intérieur. Il n’y a pas une seule manière de vivre une séparation. Mais il est vital de comprendre que cette douleur peut avoir des causes biologiques, émotionnelles, relationnelles… et qu’elle mérite d’être reconnue.

Pourquoi la séparation peut conduire à une dépression ?

• La perte d’un lien d’attachement : même dans une relation difficile, il y avait une forme de sécurité. La séparation fait tout vaciller.
• Le stress chronique lié aux démarches, au logement, à la garde des enfants, à la peur de l’avenir.
• Les croyances destructrices : « Je ne m’en remettrai jamais », « Je ne mérite pas d’être aimé(e) ».
• La culpabilité ou la honte, selon que l’on parte ou que l’on soit quitté.
• La solitude : perte du couple, mais aussi parfois de l’entourage commun.

Se reconstruire émotionnellement est possible.

La dépression n’est pas une fatalité. C’est souvent un signal que quelque chose doit changer, en profondeur. Il est possible de reprogrammer son cerveau, de rééquilibrer ses émotions, de se reconnecter à ses besoins… à condition d’être bien accompagné(e) et de comprendre que ce processus prend du temps.

Le plus important : ne pas rester seul(e) , et ne pas croire que ce que vous ressentez est « anormal ». Ce n’est ni une faiblesse, ni un échec. C’est une étape.
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